Coucher de soleil sur les Alpilles. Aquarelle sur papier 120 grammes format 21/15.
Vieille maison à Eyguières
Façades en pierre de Rognes à Eyguières (Village des Alpilles).
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Côté village au Roucas Blanc
Dessins faits à l’angle du chemin du Roucas Blanc et du boulevard Estrangin.
La Montée des escaliers.
Le Boulevard Estrangin.
Brèves de comptoir
Dessiner dans les bars c’est bien, écouter les âneries qu’on raconte c’est mieux !
Au comptoir
La place Monge, son marché, son bar
Les vieilles pierres d’Eygalières
Le café de la Place à Eygalières
Brasserie Les Danaïdes
Composites bar
Quelques monuments aux morts
Dans les bouches-du-Rhône.
À Eyguières en compagnie d’une arlésienne.
A Rognonas, statue équestre de Jeanne d’Arc et monument aux morts.
Place Louis Aragon sur l’Île Saint-Louis à Paris
Dessins dans les transports en commun
Dessins dans les transports en commun. Crayon sur papier 160 gr format 21/15 cm.
Dans le TER.
Dans le TGV.
Dans le métro.
Paris vu d’en haut
Ce n’est pas la pluie
Ce n’est pas la pluie. Reportage dessiné réalisé au fur et à mesure après les effondrements de la rue d’Aubagne à Marseille et aperçu du parc immobilier en danger. Éditions Gaussen.
32 pages format 17/22 cm, couverture souple satinée, 13 € port compris.
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Le 5 novembre 2018, trois immeubles de la rue d’Aubagne, dans le quartier de Noailles à Marseille, s’effondraient faisant huit morts. Quelques heures après, dans un communiqué, la mairie de Marseille invoquait comme raison du drame « la pluie », tombée en abondance dans les jours précédents. Très vite, un habitant du quartier déployait à sa fenêtre une banderole sur laquelle était inscrit : « ce n’est pas la pluie ». L’expression a été immédiatement adoptée par les habitants pour exprimer leur désarroi face à l’incurie de leurs édiles.
Ce n’était effectivement pas la pluie qui a été la cause de l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne, de même que ce n’est pas à cause de la pluie que près 3000 habitants ont été expulsés de leurs appartements, soudainement jugés insalubres dans les semaines qui ont suivi. Un an après, des centaines d’entre eux restent privés de leurs logements.
Jean-Michel Ucciani, qui a pour habitude d’arpenter sa ville un carnet de croquis à la main, a voulu fixer sur le papier les traces du drame.