Vue de l’Hôtel Dieu à Marseille, un ancien hôpital devenu un hôtel de luxe, l’Hôtel Intercontinental.
Sur le côté le Mémorial de la Déportation.
Dessins aquarelles de Jean-Michel Ucciani
Ces dessins ne sont pas libres de droits,
pour tout usage ou acquisition merci de me contacter.
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Vue de l’Hôtel Dieu à Marseille, un ancien hôpital devenu un hôtel de luxe, l’Hôtel Intercontinental.
Sur le côté le Mémorial de la Déportation.
Monument commémoratif de l’assassinat du roi Alexandre 1er de Yougoslavie et de Louis Barthou à Marseille en 1934 (Infos Wikipedia) à l’angle de la place de la Préfecture et de la rue de Rome à Marseille.
Une petite rue tranquille : la rue Terrusse.
Rue Benoît Malon.
Le Dernier Métro boulevard Chave dessin au crayon rehaussé au café.
Sur le Vieux Port, la Manufactory.
La place des moulins.
La place du Refuge vue d’en haut par temps gris.
La place du Refuge vue d’en bas.
La place de Lenche.
La place des Pistoles.
La place de Lorette.
Quartier des 5 avenues
Dessins faits à l’angle du chemin du Roucas Blanc et du boulevard Estrangin.
La Montée des escaliers.
Le Boulevard Estrangin.
Ce n’est pas la pluie. Reportage dessiné réalisé au fur et à mesure après les effondrements de la rue d’Aubagne à Marseille et aperçu du parc immobilier en danger. Éditions Gaussen.
32 pages format 17/22 cm, couverture souple satinée, 13 € port compris.
Contact en commentaire (ne sera pas publié) ou par la page contact.
Le 5 novembre 2018, trois immeubles de la rue d’Aubagne, dans le quartier de Noailles à Marseille, s’effondraient faisant huit morts. Quelques heures après, dans un communiqué, la mairie de Marseille invoquait comme raison du drame « la pluie », tombée en abondance dans les jours précédents. Très vite, un habitant du quartier déployait à sa fenêtre une banderole sur laquelle était inscrit : « ce n’est pas la pluie ». L’expression a été immédiatement adoptée par les habitants pour exprimer leur désarroi face à l’incurie de leurs édiles.
Ce n’était effectivement pas la pluie qui a été la cause de l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne, de même que ce n’est pas à cause de la pluie que près 3000 habitants ont été expulsés de leurs appartements, soudainement jugés insalubres dans les semaines qui ont suivi. Un an après, des centaines d’entre eux restent privés de leurs logements.
Jean-Michel Ucciani, qui a pour habitude d’arpenter sa ville un carnet de croquis à la main, a voulu fixer sur le papier les traces du drame.
À l’occasion du premier anniversaire des effondrements de la rue d’Aubagne du 5 novembre, 2018, les Éditions Gaussen ont édité un recueil de mes dessins sur ce drame et sur le parc immobilier en danger à Marseille.
32 pages, en 3 couleurs, couverture souple dos carré, 12 € port compris en me contactant.